Ce premier axiome bouddhiste, nous dit que le fait de se sentir mal à l'aise fait partie de la condition humaine. Nous changeons comme le temps, nous avons des hauts et des bas comme les marées,nous croissons et décroissons comme la lune. Mais nous verrons ensuite, qu'il n'y a aucune raison de résister à cela. Si nous y opposons une résistance, la réalité de la vie peut devenir une souffrance, voire un enfer.
fredericbaylot
Le blog miroir (partiel) de frederic.baylot.org
Lundi 18 novembre 2013 à 4:38
Lundi 18 novembre 2013 à 4:35
Lundi 18 novembre 2013 à 4:32
(2001 après Jésus-Christ - Dessinateur : Moebius - Scénariste : Jean-Luc Coudray - Editeur : STARDOM)
Paroles Jean-Jacques Goldman
Et même si le temps presse
Lundi 18 novembre 2013 à 4:28
(dessin de Benito Jacovitti )
VIA TROP VITE
D’après Zygmunt Bauman, la caractéristique essentielle de la société contemporaine est son caractère « liquide », c’est à dire : flexible, précaire, soumise à une évolution effrénée et perpétuelle, et dépourvue de « poteaux indicateurs » stables. Ballotté par des forces économiques et sociales le sommant de s’adapter en permanence à une « conjoncture » en redéfinition permanente, ce dernier est tenu de participer à un consumérisme de masse aliénant, qui l’enferme dans un état d’insatisfaction perpétuelle. Après avoir décrit la « vie liquide » dans ses grandes lignes (I), nous verrons en quoi la sortie de cesystème est de son point de vue à la fois indispensable et quasi-impossible à mettre en œuvre (II).