fredericbaylot

Le blog miroir (partiel) de frederic.baylot.org

Lundi 18 novembre 2013 à 4:38

 

X_0011

Ce premier axiome bouddhiste, nous dit que le fait de se sentir mal à l'aise fait partie de la condition humaine. Nous changeons comme le temps, nous avons des hauts et des bas comme les marées,nous croissons et décroissons comme la lune. Mais nous verrons ensuite, qu'il n'y a aucune raison de résister à cela. Si nous y opposons une résistance, la réalité de la vie peut devenir une souffrance, voire un enfer.

Lire la suite...

abonnezvous

Lundi 18 novembre 2013 à 4:35

 

zem275fb

(cliquer sur l'image ci-dessous pour lire le dessin)

Lire la suite...

abonnezvous


Lundi 18 novembre 2013 à 4:32

 

moebius

(2001 après Jésus-Christ - Dessinateur : Moebius - Scénariste : Jean-Luc Coudray - Editeur : STARDOM)
Paroles Jean-Jacques Goldman 

Et même si le temps presse

Lire la suite...
abonnezvous


Lundi 18 novembre 2013 à 4:28

 

(dessin de Benito Jacovitti )
VIA TROP VITE


D’après Zygmunt Bauman, la caractéristique essentielle de la société contemporaine est son caractère « liquide », c’est à dire : flexibleprécaire, soumise à une évolution effrénée et perpétuelle, et dépourvue de « poteaux indicateurs » stables. Ballotté par des forces économiques et sociales le sommant de s’adapter en permanence à une « conjoncture » en redéfinition permanente, ce dernier est tenu de participer à un consumérisme de masse aliénant, qui l’enferme dans un état d’insatisfaction perpétuelle. Après avoir décrit la « vie liquide » dans ses grandes lignes (I), nous verrons en quoi la sortie de cesystème est de son point de vue à la fois indispensable et quasi-impossible à mettre en œuvre (II).

Lire la suite...


 

Lundi 23 septembre 2013 à 6:37

 

che

(dessin de Rino Albertarelli)

François Béranger

Au joli mois de Mai, en plein état de grâce,
J'en ai connu plus d'un qui s'est dit, prophétique,
Qu'est-ce qu'ils vont devenir nos chanteurs enragés,
Les grandes gueules à message, les chanteurs engagés.
Maître François-la-rose sur son trône perché
Leur enlève leur fromage

Lire la suite...

abonnezvous


Lundi 23 septembre 2013 à 6:33

 

ile

D'autres stripes sur J'AI DES AILES À MES SABOTS

abonnezvous


Lundi 23 septembre 2013 à 6:30

 

g6669

Lire la suite...

abonnezvous


 

Lundi 23 septembre 2013 à 6:27

 

hcf

Humour qui surfe sur la vague Harry Potter , mais qui ne vogue pas bien haut, au mieux c’est un peu du réchauffé au pire c’est pas très drôle. 

Lire la suite...

Vendredi 16 août 2013 à 15:36

 

jacovitti

(dessin de Benito Jacovitti)

(Un Kôan est un essai pour traduire l’indicible de l’ Éveil, proposé au débutant en tant qu’énigme.)

Lire la suite...

abonnezvous

Samedi 29 juin 2013 à 14:14

 

CMCaricature par Diemer

Francisco Mendès Alves Filho dit Chico Mendes (né le 15 décembre 1944 à Xapurí au Brésil, assassiné le 22 décembre 1988 dans cette même ville) était le leader militant syndicaliste brésilien le plus connu parmi ceux qui ont défendu les droits des seringueiros, ouvriers chargés de recueillir le latex dans les plantations d’hévéa d’Amazonie. Après de nombreux combats syndicaux et personnels pour la défense de la forêt amazonienne et de ceux qui en vivent, il fut assassiné pour ses idéaux sur ordre d'un riche propriétaire de terre.

Lire la suite...

abonnezvous




 

Vendredi 14 juin 2013 à 12:18

 

agedefaire

En 2001,la parution du journal "Sortir du nucléaire" montre à Alain qu'une demande existe et s'en inspire alors pour son projet. Reste à s'informer auprès de personnes plus qualifiées dans la presse et en juin 2002, c'est le coup d'envoi ! Il créé son mensuel pour lutter à sa façon contre la désinformation !

Lire la suite...

abonnezvous

Vendredi 14 juin 2013 à 12:14

 

bouddha-rebelle

Texte de Eric Rommeluère

La prime parole du Bouddha (l’Éveillé en sanskrit) restera à jamais inaccessible. Les premiers textes bouddhistes datent de la généralisation de l’écriture en Inde peu avant le début de l’ère chrétienne, trois siècles environ après son « extinction » (le nirvâna) et montrent déjà des disparités liées à la multiplication des écoles. Toutes les traditions indo-himalayennes et extrême-orientales connues aujourd’hui sont issues d’un mouvement de réforme, sans doute transversal à plusieurs écoles, né à cette même époque en Inde et qui s’intitule la Voie de la Grandeur (mahâyâna, ou « Grand Véhicule »). Ses origines restent mystérieuses et les historiens ne savent eux-mêmes décider s’il apparut dans le Nord ou bien dans le Sud du sous-continent.

Lire la suite...

abonnezvous

Mardi 14 mai 2013 à 12:05

 

arbrenfant

Il y eut aussi des êtres humains que le discernement éveilla au respect. Ils éduquèrent leur progéniture en lui disant :

« sachez que la création ne nous appartient pas, mais que nous en sommes les enfants.

Gardez-vous de toute arrogance, car les arbres et toutes les créatures sont également enfants de la création.

Vivez avec légèreté sans jamais outrager l'eau, le souffle ou la lumière. Et si vous prélevez de la vie pour votre vie, ayez-en de la gratitude.

Lorsque vous immolez un animal, sachez que c'est la vie qui se donne à la vie, et que rien ne soit dilapidé de ce don.

Sachez établir la mesure de toute chose. Ne faites point de bruit inutile, ne tuez pas sans nécessité ou par divertissement.

Sachez que les arbres et le vent se délectent de la mélodie qu'ensemble ils enfantent, et que l'oiseau, porté par le souffle, est un messager du ciel autant que la terre.

Soyez très éveillés lorsque le ciel illumine vos sentiers, et, lorsque lanuit vous rassemble, ayez confiance en elle, car si vous n'avez ni haine ni ennemi, elle vous conduira sans dommage, sur ses pirogues de silence, jusqu'aux rives de l'aurore.

Que le temps et l'âge ne vous accablent pas, car ils vous préparent à d'autres naissances, et dans vos jours amoindris, si votre vie fut juste, il naîtra de nouveaux songes heureux, pour ensemencer les siècles.

Pierre Rabhi

(lu sur Les Brins d'herbes engagés)

Cet article est tiré de mon blog principal. Pour lire quotidiennement de nouveaux articles : http://frederic.baylot.org/

 

Mardi 14 mai 2013 à 12:02

 

monde au balcon

Pour Rosenn Le Page, coauteure de "Les bons plans au balcon", mettre en place un carré potager n’a rien de sorcier. 

La solution la plus simple, nécessite d’utiliser « un cadre de bois d’un mètre de côté, une bâche plastique (comme celles utilisées pour l’étanchéité des bassins) et du bon terreau ».

Pour commencer, diviser un carré d’un mètre de côté en damiers de 30 cm de côté permettra de récolter des assiettées de légumes pour trois ou quatre personnes.

Deux vérifications essentielles : une bonne exposition au soleil et que le balcon supporte le poids du matériau.

Pour une installation plus sophistiquée, opter pour des bacs sur pieds ou sur roulettes a des avantages : la mobilité des bacs et un travail en hauteur, qui cassera moins le dos. Enfin, option plus « technique », le recours aux grands sacs étanches « en géotextile » (photo).

C’est l’une des solutions privilégiées par Florent Imperiale, créateur du site Du monde au balcon, qui en importe (et distribue) des États-Unis, pays roi du potager urbain : « Le géotextile est une matière respirante. Les racines seront bien aérées, dit-il. Cela permet de drainer les excès d’arrosage. » Un système de distribution au goutte-à-goutte ne sera cependant pas un luxe. Certains fonctionnent sans piles ni électricité.

L’erreur du débutant est de croire qu’il suffit de mettre du terreau une bonne fois pour toutes : « En un mois, un mois et demi, des tomates (légume numéro 1 du potager de balcon), auront consommé tous les nutriments. » Il faudra donc nourrir la terre. À un terreau classique, on préférera un mélange 50 % compost et 50 % terreau. Et rajouter régulièrement du compost ou de l’engrais bio en surface.

Plusieurs marques proposent des jardinières compactes toutes prêtes…

Afin d’éviter les maladies, « il est recommandé de changer le substrat tous les ans, et d’éviter de cultiver des plants de mêmes types de légumes toujours au même endroit, écrit Rosenn Le Page. C’est la base de la base de l’agriculture.

Les études montrent que les amateurs de potagers urbains sont souvent des trentenaires avec enfants, qui cherchent avant tout à se faire plaisir, et pas à optimiser à fond la production. Autant choisir des variétés qui produisent vite, mais pas des variétés naines : « Tout dépend de l’espace qu’on laisse aux plants, assure Florent Imperiale. Essayer de produire des navets ou des carottes en bac n’est pas très intéressant. Ce sera surtout pour le fun. »

Philippe RICHARD.

Lu sur Résistance Inventerre

Cet article est tiré de mon blog principal. Pour lire quotidiennement de nouveaux articles : http://frederic.baylot.org/

 


 

Mardi 14 mai 2013 à 11:58

 

Sanite BÉLAIR

Sanite BÉLAIR - Rebelle, vers 1781 - 1802 HAÏTI

Peu d’archives évoquent les diverses façons dont les femmes ont contribué à la révolution haïtienne qui aboutit le 1er janvier 1804 à la création de la République d’Haïti.

rsque les esclaves de Saint-Domingue se soulèvent, des femmes participent à l’insurrection et aux combats armés. Certaines sont au cœur de la stratégie conçue par Toussaint l’Ouverture pour organiser des guérillas contre les Français dans les territoires intérieurs de l’île. Aux côtés de Sanite Bélair, de nombreuses femmes telles Défilée (appelée également Dédée Bazile), ou encore Claire Heureuse, épouse de Jean-Jacques Dessalines, se sont illustrées par leur bravoure et leur courage.
Sanite, surnom de Suzanne, était une jeune affranchie originaire de Verrettes qui épousa en 1796 Charles Bélair, neveu, aide de camp et lieutenant de Toussaint Louverture. Elle participe aux côtés de son époux aux combats de 1802, dans les retranchements escarpés des Matheux, contre l’expédition napoléonienne menée par le général Leclerc venue rétablir l’esclavage dans la colonie de Saint-Domingue.
Lors d’une attaque surprise contre les troupes de Charles Bélair parties en quête de renforts et de munitions, Sanite fut faite prisonnière. Désespéré, Charles se rendit. Le couple Bélair fut expédié à Leclerc. Ils furent condamnés six heures après leur arrivée au Cap.
Le tribunal colonial « considérant le grade militaire de Charles et le sexe de Sanite, son épouse, condamna ledit Bélair à être fusillé et ladite Sanite, sa femme à être décapitée ».
Un des chefs d’accusation retenu contre Sanite concernait l’exécution d’un jeune blanc capturé par les troupes de Bélair et soupçonné d’espionnage. Pour l’accusation, les rebelles, en route pour les mornes de l’Arcahaie, « n’avaient pas parcouru un espace de cents toises que la citoyenne Sanite (...) déclara hautement qu’elle ne voulait pas donner des soins plus longtemps » à ce jeune Blanc. Ce dernier fut « tué à coups de sabre par les soldats de la huitième ». Mais pour l’acte d’accusation, « Sanite, la brigande, avait de ses propres mains, sabré ce jeune blanc. » 

« Quand on le (Charles Bélair) plaça devant le détachement qui devait le fusiller, il entendit avec calme la voix de son épouse l’exhortant à mourir en brave. Au moment qu’il portait la main sur son cœur, il tomba, atteint de plusieurs balles à la tête ». Le jour de l’exécution, le 5 octobre 1802, Sanite exigea et obtint, non sans peine, de ses bourreaux d’être fusillée. « Sanite refusa de se laisser bander les yeux. Le bourreau, malgré ses efforts, ne put la faire courber contre le billot. L’officier qui commandait le détachement fut obligé de la faire fusiller. »
Le 1er janvier 1804, la République d’Haïti était proclamée. 

L’insurrection avait été victorieuse. La Révolution haïtienne prenait place parmi les grandes révolutions du 18e siècle, les révolutions française, américaine et anglaise. Elle portait loin l’universalité des droits en étant à la fois anticoloniale et anti-esclavagiste et en rejetant toute exclusive basée sur la ligne de couleur.
Condamnée au blocus par la France et les États-Unis, la jeune République fut forcée en 1825 de payer un lourd tribut de 90 millions de francs or au régime de Charles X en échange de la reconnaissance de sa souveraineté et de la levée du blocus. Elle dut aussi accepter des tarifs préférentiels pour l’exportation en France de son sucre.
Ce n’est qu’en 1947 que la République d’Haïti parvint à payer cette somme, qu’elle eut à emprunter à des taux usuraires à des banques françaises.

belair

DIX FEMMES PUISSANTES
PORTRAITS DE FEMMES EN LUTTE CONTRE L’ESCLAVAGE COLONIAL
10 mai – 15 septembre 2013
Parvis du Mémorial de l’abolition de l’esclavage - Nantes

Cet article est tiré de mon blog principal. Pour lire quotidiennement de nouveaux articles : http://frederic.baylot.org/

 

Dimanche 14 avril 2013 à 12:12

 24-5FBcliquer sur le dessin pour lire la BD

Dimanche 14 avril 2013 à 12:12

 

affiche-PRE-mars-copie-3Le soleil a beau être au rendez-vous, traverser la banlieue parisienne pour rejoindre Nanterre à vélo n’est pas la plus bucolique des promenades dominicales. HLM à gauche, buildings de La Défense dans le dos, prendre à droite à contresens après une carcasse de scooter. Avec un peu de malchance et un mauvais sens de l’orientation, on se retrouve sur la départementale, surplombant un magnifique paysage industriel où quelques grues, poules d’un autre monde, semblent picorer des champs de gravats.

Au bout du périple, le campus de l’université, et plus exactement les Arènes de Nanterre. C’est derrière cet ensemble hétéroclite, fait de tentes colorées et d’un chapiteau de cirque que se trouve la Ferme du Bonheur, dernière étape du Festival des Utopies Concrètes ayant débuté le 27 septembre.

[...] Ils sont une dizaine de bénévoles à faire quotidiennement ce trajet, reliant la Ferme au PRE, Parc Rural Expérimental. Etudiants, urbanistes, paysagistes ou citoyens amoureux de la nature, tous ont trouvé leur place dans l’aventure lancée par Roger en 1993.

Sur un bout de terrain prêté par les Arènes de Nanterre, ce personnage indescriptible, citadin, metteur en scène, acteur de théâtre de rue, a décidé de fonder une ferme où la culture, non déracinée, jouerait également un rôle central. Lieu de rencontres « agropoétiques », la Ferme du Bonheur accueille des pièces de théâtre –on y a joué Genet et Dostoïevski-, des concerts, des soirées électro, et naturellement de nombreux groupes scolaires avec lesquels les bénévoles partagent enthousiasme et découvertes sur la vie animale.

[...] Alors que poules, lapins, paon sont restés à la ferme, un troupeau de brebis paît sur les talus des HLM encadrant notre destination : le PRE, en réalité le toit d’un des tunnels de l’autoroute. Un peu plus d’un hectare défriché, maintenant reconverti en terrain de maraîchage, potager commun et petites parcelles de culture céréalière. Si chacun peut venir cultiver son propre carré, le projet collectif semble tout de même avoir la préférence des bénévoles. Pour le moment, la plus grande partie des produits de la ferme est consommée sur place, excepté les fromages de chèvre et le miel, très appréciés du public. Mais Roger des Prés entend bien poursuivre son rêve, bêcher et défricher, pour qu’un jour, les habitants des alentours puissent entièrement « manger nanterrois ».
Augmenter la résilience des villes face à une crise alimentaire future : une démarche clef mise en lumière lors Festival des Utopies Concrètes. Au-delà de l’aspect résolument pratique, il y a bien sûr le plaisir de recréer des liens entre citadins, d’instaurer un climat de confiance et de partage. Des échanges qui se tiennent, par exemple, autour d’un thé sous la khaïma (tente du Sahara) montée à côté du potager. Un cadre surréaliste pour parler urbanisme, culture, association, ou simplement refaire le monde pendant quelques heures.

[...] Planant au-dessus du PRE, le Léviathan n’est cependant jamais loin… Située sur un terrain où s’entrechoquent, entre autres, les intérêts de la municipalité, de la DDE et de la SNCF, la Ferme du Bonheur a réussi à obtenir une convention d’occupation temporaire, lui assurant un statut précaire.

Mais chaque année, lors du renouvellement de cet accord, le plan d’aménagement Seine-Arche de l’EPADESA (Etablissement Public d’Aménagement de la Défense Seine Arche) menace la survie du projet. Lancé en 1960, dans la continuité de l’axe parisien conçu par Le Nôtre sous Louis XIV, ce plan entend réaménager l’espace public de l’Ouest parisien au-delà de l’arche de la Défense. Bureaux, logements, équipements et terrasses paysagères sont au programme, une de ces dernières devant être implantée à l’endroit même du PRE.

[...]

Lire l’article intégral de Eva Deront sur Reporterre

Dimanche 14 avril 2013 à 12:10

 

RC2

Au XVII° les scientifiques apparaissent, ou plutôt les chercheurs deviennent des scientifiques. Déjà ils pensent que la science pourra sauver l’humain. Un manifeste « Rose+Croix » est publié sur les murs de Paris pour appeler tous les chercheurs humanistes à les rejoindre, sans pour autant donner de lieu de rencontre. Cette BD va se servir de cette confrérie initiatique de cette époque comme toile de fond. Mais la recherche qui y est menée en son sein n’est pas identique pour tous. Vie éternelle pour certains, trouver le divin en soi, transmutation du vil métal en or ou tout simplement pouvoir politique. Ces buts, aussi différents soient-ils, doivent se retrouver chez les Franc-Maçons actuels de la même manière je suppose, car tel est l’humain, aussi divers, plus spirituels pour certains et souvent égotiques, matérialistes et manipulateurs pour beaucoup.

Nous assistons à l’apprentissage d’une jeune garçon aux talents importants et dont différents groupe « Rose+Croix » voudraient s’arracher son compagnonage à son corps défendant. L’amour et la sensualité sont aussi présents. Mais sont-ils un frein au Grand-Oeuvre ou même incompatibles ?

Que faut-il abandonner pour arriver à la Pierre philosophale ?

Les faits révélés dans cette BD sont historiques pour la plupart, le fond politique est conforme à celui de l’époque. C’est tout le talent des romanciers de faire des vies extraordinaires qui baignent dans l’ordinaire du quotidien. Les conspirationistes y verront matière à penser que le monde est dirigé par des Illuminatis.

Ésotérisme, alchimie, magie… des ingrédients mystérieux et bien amenés pour une BD de grande qualité !

La Rose et la Croix - Dessinateurs : Dan Popescu, Luigi Critone  - Scénaristes : Nicolas Jarry , France Richemond - Editeur : SOLEIL PRODUCTION

Lundi 9 août 2010 à 21:37

 

 

Dessins réalisés avec des outils et un esprit Libres

 

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast